19 février 2007
1O:2O
Je ne sais plus chorégraphier, mes pas sonnaient toujours sur un note de piano, mes douches et me levés se faisaient de gestes lents et voluptueux. Je me sens encore maladroite mais les aventures blogiennes ont eu raison de moi. J'ai gardé le crayon derrière l'oreille mais c'est trop bête de garder mes déboires et autres âneries délicieuses pour moi :].
Au commencement, l'infiniment grand est un bien attirant refuge.
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